Carmen Gibbs, directrice générale de l’AAAPNB

« Il y a une très bonne couverture médiatique, notamment au niveau des artistes, du milieu culturel, et puis tous les festivals et les événements qui se passent. Donc c’est clair que si nous n’avions pas l’Acadie Nouvelle, on serait privé d’une excellente vitrine pour les actrices et puis pour le milieu culturel dans son ensemble. »
« Comme nous sommes aussi un organisme porte-parole pour représenter les positions politiques, c’est fondamental d’avoir l’Acadie Nouvelle si on veut pouvoir aussi parler d’enjeux qui touchent l’ensemble de la société et représentant le milieu des arts de culture, parce que tout ce qui se passe au Nouveau-Brunswick et en Acadie touche notre milieu aussi, parce que ce sont les gens, les artistes et les travailleurs culturels qui vivent dans la société comme tous les autres citoyens. »
« L’Acadie Nouvelle est un partenaire privilégié des Éloizes depuis 2007. En plus d’être un journal, l’Acadie Nouvelle a décidé que les Éloizes étaient un événement qu’ils voulaient appuyer, et l’entreprise le fait de façon soutenue. C’est grandement apprécié. Les Éloizes, c’est avant tout un événement qui met de l’avant l’excellence artistique et les finalistes du Gala et ça permet de donner une vitrine à ces gens-là. L’Acadie Nouvelle est fidèle à l’AAAPNB et l’AAAPNB est fidèle à l’Acadie Nouvelle. »

Marcel Dupuis, directeur général des jeux de l’Acadie

« C’est quelque chose qui, au courant de notre existence et aussi de la vôtre, a été primordial à la croissance des Jeux de l’Acadie, puis aussi à sa pérennité. Pouvoir voir et promouvoir les jeux d’Acadie, voir les jeunes de nos régions dans les pages des Sports et non seulement des Canadiens de Montréal et de Toronto, ça apporte une certaine fierté aux jeunes, que les autres gens de leur communauté peuvent voir leurs beaux exploits. J’ai moi-même vécu ça comme jeune athlète et je suis à même de témoigner que cela joue quand même un rôle très important. »
« Au temps des Jeux de l’Acadie, notre partenariat nous permet vraiment de promouvoir la municipalité hôtesse ainsi que nos activités sportives, et ce qui va se passer aux Jeux. »
« Ce partenariat n’est pas seulement viable durant les Jeux de l’Acadie, mais durant toute l’année. L’Acadie Nouvelle a aussi des expertises qu’on n’a pas aux Jeux de l’Acadie. On peut toujours donner un coup de fil puis trouver un coup de main si on en a besoin. C’est un grand honneur. »

Yvon Godin, président de l’association francophone des municipalités du N.-B.

« (L’Acadie Nouvelle) est un outil de communication vraiment parfait. Je peux m’assurer de connaître les événements, puis je peux aussi connaître l’actualité parce que, parfois, on apprend les nouvelles directement du journal et après ça on reçoit des informations d’ailleurs. »
« Mais pour une association comme la mienne, je pense que c’est indispensable parce qu’on est capable, grâce à vous autres aussi, de transmettre de l’information. Et puis cette information-là permet aux gens de se forger sur un genre d’opinion. Donc en réalité, on rejoint nos membres et en plus de ça, on rejoint la population complète. »
« J’apprécie beaucoup vos éditoriaux; c’est toujours intéressant parce que ça nous donne une opinion de ce que j’appelle des spécialistes. Une autre rubrique que j’aime beaucoup lire aussi, c’est L’opinion du lecteur, car on y voit un peu comment les gens pensent. Ça nous donne une meilleure idée dans quelle direction on devrait aller. »

Stéphanie Babineau, présidente de l’association des enseignantes et des enseignants francophones du N.-B.

« Pour nous c’est une ressource pédagogique super importante. C’est une ressource qu’on peut utiliser en salle de classe dans la mise en place de différentes situations d’apprentissage. C’est un outil qui permet à nos élèves de se connecter non seulement à leur réalité locale, mais à la réalité de la communauté acadienne et francophone autour de la province, au national, à l’international. »
« L’Acadie Nouvelle leur permet également de développer le sens critique, les aide à devenir des citoyens informés et engagés pour qu’ils puissent jouer un rôle dans notre société et dans notre démocratie. C’est également important pour nos élèves d’être confrontés à des idées différentes des médias sociaux, qui fonctionnent avec les algorithmes, avec tout ce qui est intelligence artificielle qui a tendance à vouloir nous montrer seulement ce que l’on pense et ce que l’on aime. »
« Les médias traditionnels permettent la confrontation des idées et des débats polis, riches en informations de qualité, pour que les élèves réalisent que c’est correct de confronter ces idées, c’est correct de ne pas penser comme les autres, c’est correct, mais c’est également important de pouvoir déterminer ce qui est vrai de ce qui est peut-être moins vrai, pour qu’ils puissent ensuite former leurs propres opinions et construire leurs propres convictions. »