5 articles difficiles à recycler — et des solutions de rechange durables!
À l’heure où le développement durable est sur toutes les lèvres, il devient crucial de connaître les objets du quotidien non recyclables et de les remplacer. En voici quelques-uns qui sont parfois difficiles ou impossibles à recycler, selon les municipalités, et qui peuvent être troqués contre des produits permettant de réduire votre empreinte écologique :
1. Les gobelets à café jetables : ils sont souvent dotés d’une doublure en plastique, ce qui complexifie le recyclage. Investissez plutôt dans une tasse à café réutilisable en acier inoxydable ou en bambou. D’ailleurs, de nombreux établissements spécialisés offrent des rabais aux clients qui apportent leurs propres gobelets.
2. Les tubes de dentifrice : constitués d’une combinaison de matériaux difficiles à séparer pour le recyclage, ils engendrent en outre un certain gaspillage, puisqu’une partie de la pâte est quasi impossible à en extirper. Pour contrer ces deux phénomènes, vous pouvez tourner vers les comprimés — demandez toutefois conseil à votre dentiste pour faire le bon choix.
3. Les boîtes de pizza : les boîtes à pizza contaminées par de la graisse ou des résidus alimentaires ne sont généralement pas recyclables. Envisagez de cuire vos pizzas à la maison sur une plaque ou une pierre, ou soutenez les restaurants qui utilisent des boîtes compostables faites de carton recyclé.
4. Les pailles : les pailles en papier tout comme les pailles en plastique se recyclent difficilement en raison de leur taille et de leur composition. Misez plutôt sur des pailles réutilisables en acier inoxydable ou en bambou qui se nettoient bien.
Le lundi 22 avril est le Jour de la Terre — voilà le moment idéal pour adopter des habitudes de consommation durables!
Source : textuel.ca
La Coopérative funéraire Passage
Au service de la population depuis 2003
La Coopérative funéraire Passage est bien ancrée dans la communauté. D’abord basée à Shediac Bridge, elle compte maintenant deux maisons affiliées, à Moncton ainsi qu’à Dieppe.
Il y a toute une variété de services offerts, comprenant les cercueils, visites, cérémonies funéraires et l’incinération.
Directeur général depuis 2020, Mathieu LeBlanc indique que les débuts ont été modestes, mais que l’entreprise s’est rapidement démarquée pour ensuite prendre de l’expansion.
La clé du succès de la Coopérative funéraire Passage? Une approche personnalisée et la plus humaine possible.
« C’est la chose la plus importante et mon équipe adopte cette approche compatissante. Les gens ont de la peine d’avoir perdu leur proche; il faut donc les guider de manière respectueuse dans tout le processus entourant les rites funéraires », souligne celui qui travaille dans le domaine depuis 23 ans.
Un détail qui n’est pas anodin, c’est que la coopérative appartient à ses membres.
« Un membre peut donner son point de vue sur le fonctionnement et les services lors de notre réunion annuelle. Nous avons un conseil d’administration, je suis directeur général et me rapporte à mon conseil une fois par mois. Ça crée un sentiment d’appartenance et de proximité aux membres et aux communautés que nous servons. »
La Coopérative funéraire Passage sait s’adapter aux nouvelles demandes et réalités de sa clientèle. « Nous sommes à environ 80 % d’incinérations des défunts dont nous nous occupons. Certaines personnes demandent de ne pas être exposées ni même d’avoir de funérailles. Je constate que, chez les Acadiens, il y a encore une demande pour des temps de visite au salon funéraire ou autre rite traditionnel. Nous faisons peu d’incinérations directement après le décès. Les funérailles ne sont pas toujours religieuses; ça peut être des célébrations de la vie avec le maître de cérémonie ou le célébrant. »
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