Les copropriétaires de Mind at Peace Centre Mieux-Être : Eve Arseneau et Marie-Pierre Godin.

Ouvert en 2018, Mind at Peace Centre Mieux-Être est une clinique multidisciplinaire axée sur le bien-être qui regroupe des expertises professionnelles variées sous un même toit. Une équipe professionnelle y est à l’œuvre afin de répondre aux besoins multiples et distincts d’une large clientèle à partir de ses bureaux à Bathurst, Campbellton, Caraquet et Baie-Comeau.

Ce centre est né de la passion commune des copropriétaires Eve Arseneau, une psychologue, et Marie-Pierre Godin, une travailleuse sociale clinique. Elles rêvaient de travailler avec une équipe de gens professionnels de différentes disciplines afin de mieux répondre aux besoins multiples et distincts de leur clientèle. Mind at Peace Centre Mieux-Être est ainsi venu offrir des services professionnels où la collaboration et les approches interdisciplinaires sont la règle.

« Nous faisons partie d’une équipe multidisciplinaire et les gens adorent cette approche parce qu’ils sont soutenus par toute l’équipe. Chaque personne a sa propre expertise et nous allons chercher les compétences de chacun pour mieux aider nos clients », explique Mme Arseneau.
De son côté, Marie-Pierre Godin ajoute que cette approche distingue le centre depuis ses débuts. « Les ressources sont assez limitées dans le nord. Notre but est de répondre aux besoins multiples et de faciliter l’offre de services avec un endroit centralisé », affirme-t-elle.

Dès les premiers contacts, le personnel s’efforce de mettre la personne à l’aise et de bien cerner ses besoins pour la diriger vers les bons services. Avec l’accord de la clientèle, l’équipe peut discuter des meilleures façons de l’aider avec l’ajout d’un ou des services bénéfiques pour atteindre son mieux-être. « Nous savons que le corps et l’esprit sont connectés. Si une personne vit des difficultés émotionnelles, elles vont possiblement transparaitre dans son corps.

Elle pourrait donc bénéficier des services comme le yoga pour le trauma, l’ostéopathie ou bien l’acuponcture. Si nous discutons de troubles alimentaires, nous pouvons impliquer la diététiste pour discuter de nutrition », précise Mme Arseneau en guise d’exemple.