Kassim Doumbia est membre du conseil municipal de Shippagan depuis 2012. Il a occupé à tour de rôle les postes de conseiller, de maire adjoint et puis maintenant de maire. Dans le cadre de ses fonctions municipales, il a donc été un témoin de première ligne pour réaliser l’impact d’un Club Richelieu dans une municipalité. En cette semaine Richelieu, il rend hommage à tous ces clubs qui contribuent au développement de la jeunesse et
de la francophonie.
« Notre conseil municipal, comme bien des communautés, a un lien privilégié avec le Club Richelieu dans la mesure où, ici à Shippagan, nous avons un parc qui porte le nom de ce mouvement. Le conseil travaille donc en étroite collaboration avec les Richelieu pour s’assurer que le parc dispose des infrastructures nécessaires qui répondent aux besoins de tous les jeunes de notre territoire », souligne-t-il d’emblée.
Il salue les efforts des membres du Club Richelieu qui amassent inlassablement des fonds pour mettre à niveau les équipements et installations du parc, alors que la municipalité veille à l’entretien et à la coupe du gazon durant l’été. Il considère ce partenariat comme un atout important qui bénéficie à toute la communauté.
« Ils font aussi beaucoup d’aide caritative auprès des jeunes de la région sous forme de bourses ou d’aide directe aux jeunes. Je les vois vraiment comme des partenaires essentiels, justement pour la municipalité et pour les différentes causes qui touchent la jeunesse et la francophonie », ajoute-t-il en mentionnant notamment une activité de rapprochement entre la population étudiante internationale et la communauté. Le maire de Shippagan transmet les mêmes éloges à l’endroit de tous les Clubs Richelieu à travers la province.
M. Doumbia désire profiter de l’occasion pour remercier les membres du Club Richelieu de Shippagan et tous ceux des autres municipalités francophones de la province. « Le premier mot qui me vient en tête est merci! Merci pour votre travail bénévole. Je pense qu’il est tout à fait à leur honneur de contribuer à l’épanouissement des jeunes et de la francophonie », conclut-il.