municipalité d'edmundston

Le Centre Jean-Daigle est une source de grande fierté dans la région. Ce printemps, le Blizzard de la ligue de hockey Junior A des Maritimes a fait vibrer les amateurs de hockey.
Située aux frontières du Nouveau-Brunswick, du Québec et du Maine, la ville d’Edmundston représente un véritable carrefour des rencontres. La région est entourée de vastes forêts qui en font un petit paradis pour les activités de plein air qui rassemblent les gens de toutes les cultures et de tous les horizons pendant les quatre saisons.
Eric Marquis, maire
Le maire, Eric Marquis, décrit ainsi sa région et sa qualité de vie exceptionnelle. « Nous sommes une communauté accueillante qui reçoit énormément de nouveaux arrivants. Nous avons des gens qui arrivent chaque semaine. Nous sommes aussi une ville universitaire et collégiale qui réussit à attirer des gens des quatre coins de la planète qui veulent étudier chez nous », dit-il en saluant la richesse culturelle apportée par toutes ces nouvelles personnes.

Tous les services dont on a besoin

La chaleur des citoyens et des citoyennes contribue également au rayonnement de la municipalité, alors que son caractère très sécuritaire plaît beaucoup aux jeunes familles. M. le maire ajoute que le coût de la vie à Edmundston est aussi moins élevé que dans plusieurs centres urbains. Les gens y retrouvent tous les services nécessaires, une vie communautaire active et un système scolaire de grande qualité.

Il souligne également que la ville propose beaucoup d’occasions à saisir pour les personnes qui désirent s’y établir. « Par exemple, il y a toute la question du développement des soins de santé. Nous travaillons sur un projet pilote pour assurer des soins de santé de qualité et un accès aux soins de santé primaire. Ceci est une occasion pour pour les personnes qui ont des antécédents au niveau du domaine de la santé. Nous parlons aussi d’occasions d’emploi. Comme beaucoup d’autres régions, nous avons des emplois qui doivent être pourvus pour assurer la pleine croissance de notre économie », conclut-il.