P.R.O. Jeunesse Edmundston : pour les enfants d’abord et avant tout!
Participer à des activités sportives, culturelles et communautaires enrichit la vie d’un enfant, mais certaines familles peinent à payer les coûts d’inscription ou encore l’achat de l’équipement requis. L’organisme à but non lucratif P.R.O. Jeunesse Edmundston a donc comme mission d’aider les familles qui connaissent certaines difficultés financières.
Le coordinateur, Maxime Malo, explique que les familles doivent
d’abord remplir le formulaire de demande disponible sur le site
(www.projeunesseedmundston.ca)
et fournir les documents nécessaires.
« Les documents en question démontrent le besoin financier et nous acceptons aussi des lettres qui décrivent la situation financière. Nous aidons non seulement les familles qui ont un urgent besoin financier, mais aussi les familles qui vivent des difficultés financières particulières », souligne-t-il. Il cite en exemple les familles qui peuvent être affectées par de lourds prêts étudiants ou encore par des frais inattendus tels que des services funéraires.
Quelque 150 familles par année bénéficient de ce précieux organisme
Toutes les demandes demeurent confidentielles et l’organisme appuie environ 150 familles par année et paye une partie ou la totalité des frais d’inscription et d’équipement. Les activités admissibles sont aussi variées que les intérêts des enfants de moins de 18 ans. Elles peuvent comprendre tous les sports tels que le hockey, la natation, le soccer ou les arts martiaux; les arts comme les cours de musique ou de peinture ou encore des activités communautaires comme le scoutisme, les camps d’été, etc.
Au fil des ans, P.R.O Jeunesse Edmundston a établi des liens et des partenariats avec de nombreux organismes et plusieurs offrent des sessions gratuites ou un prix réduit aux familles admissibles. Le reste des coûts est financé par des contributions des trois paliers du gouvernement, de dons de fondations, d’entreprises et d’individus ainsi que l’activité annuelle de collecte de fonds de la Marche en pieds de bas. « Nous marchons en pieds de bas comme activité de sensibilisation parce que des familles ne peuvent même pas se permettre d’acheter de souliers pour que leur enfant fasse du sport », explique M. Malo.