50e DE LA CPSC

Pour le travail inlassable que Marie-Thérèse Landry a effectué auprès des arts et de la culture, le Consul général de France dans les provinces atlantiques lui a remis les insignes de Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres en mai dernier.
Étant à la direction générale du CPSC depuis 2007, Marie-Thérèse Landry a été partie prenante de l’évolution de cet organisme et en parlant avec elle, on constate la grande passion qui l’habite. « On ne peut pas faire un travail de ce genre sans passion. »
Elle résume ces 16 dernières années par certains mots-clés qui commencent par la lettre « r ».
« D’abord, je dirais le mot “réseau”. Depuis mon arrivée, j’ai voulu faire en sorte que nos membres travaillent davantage ensemble dans des intérêts communs et sur l’effervescence et le foisonnement de projets. J’ai aussi voulu redynamiser le Conseil. »
« J’ai aussi voulu prendre des risques (un autre mot qui commence par “r”). Juste le fait de quitter la Gaspésie, où j’habitais et où je travaillais, pour venir à Moncton où je ne connaissais personne constituait un risque, mais je suis fière que tout se soit bien passé depuis. Il faut aussi saisir les occasions que la vie nous donne pour mener à bien divers projets. »
« Le mot “rayonnement” reflète aussi une partie de mon travail à la tête du CPSC, car j’ai eu la chance de visiter plusieurs pays et d’y faire des présentations, tout cela afin que le Conseil soit connu et puisse rayonner au sein de la francophonie internationale. »