Jeux de l'Acadie 2023

Yves Arsenault, premier à gauche, était bien fier de se faire prendre en photo en compagnie de Brenda Comeau, présidente du comité organisateur, Acajoux, la mascotte des Jeux de l’Acadie, Maxime Bourgeois, maire de Memramcook et Passe-Pierre, la mascotte des Jeux de Memramcook.
Yves Arsenault en est rendu à sa cinquième année à titre de président de la Société des Jeux de l’Acadie (SJA), mais son expérience au sein des Jeux date de plus longtemps encore, car il a vécu sa première finale à Campbellton en 2006. Il a donc été aux premières loges de plusieurs moments marquants et innovants de la récente histoire des Jeux, notamment en ce qui concerne l’implantation de la remise de médailles et la venue de diverses disciplines artistiques qui se sont ajoutées au volet sportif.
La 42e finale à Memramcook marquera le début d’une programmation en deux blocs, un peu à l’image des Jeux du Canada. Une décision qui, de l’avis de M. Arsenault, profitera à la municipalité hôtesse et aux autres communautés de plus petite taille qui accueilleront une finale dans le futur.

« Cette formule permet de tenir davantage d’activités dans une seule municipalité ou une seule région comparativement à l’ancienne formule où toutes les délégations au grand complet arrivaient au même moment. »

En ce qui a trait au recrutement des bénévoles pour la finale, une telle formule a des effets bénéfiques. À voir tous ces changements récents et bien d’autres effectués depuis le début de la grande aventure des Jeux de l’Acadie en 1979, force est de constater que la Société des Jeux de l’Acadie fait constamment preuve d’innovation. Et ce n’est certes pas terminé.
Yves Arsenault indique notamment que la formule des Jeux régionaux va être examinée de près dans un avenir rapproché. « Dans notre planification stratégique, c’est un dossier que la Société devra regarder de près, car la participation aux Jeux régionaux varie grandement selon les régions. Mais on ne va pas agir en vitesse; on va prendre le temps d’analyser la situation et d’y apporter des correctifs par la suite, si besoin il y a », conclut le président de la SJA.