Une année exceptionnelle à l’École des pêches!
L’École des pêches du CCNB est en voie d’atteindre une année exceptionnelle avec son offre de formation. Après deux années ralenties par la pandémie, voilà que le nombre de formations offertes atteint un niveau que l’École n’avait pas vu depuis plusieurs années.
La demande est telle que l’École des pêches est seulement limitée par le nombre d’enseignantes
et d’enseignants qu’elle est en mesure de recruter.
« On lance un appel à nos pêcheurs professionnels de redonner à l’École des pêches ce qu’ils ont reçu par le passé », affirme Gérald Losier, doyen de l’École des pêches et des ressources naturelles du CCNB.
« On les invite à communiquer
avec l’école s’ils veulent contribuer
à l’enseignement. On les accueillera à bras ouverts! »
Cette année, la programmation en formation continue à l’École des pêches a notamment inclus une cohorte d’une formation de six semaines sur les engins de pêche. Nous avons également offert des formations sur mesure pour les communautés autochtones, ainsi qu’une formation pour une brigade de pompiers visant à améliorer leur capacité de sauvetage en mer.
Deux joueurs clés en poste
L’École des pêches a pourvu deux postes importants au cours des derniers mois, soit ceux de doyen associé et d’adjointe administrative.
Nadler Simon est le nouveau doyen associé à l’École des pêches et des ressources naturelles du CCNB. Citoyen de la Péninsule acadienne depuis près d’une dizaine d’années, le scientifique de carrière a une longue feuille de route dans les sciences naturelles et la gestion académique.
« M. Simon connait très bien la réalité de la région, explique M. Losier. De plus, il a un bagage académique important qu’il apporte à l’École des pêches. »
« C’est un travail très intéressant dans le sens où on touche à beaucoup de domaines et beaucoup de programmes, ajoute M. Simon. Dans l’ensemble, c’est très gratifiant comme travail. »
Pour sa part, Louiselle
Benoit a été nommée adjointe administrative du campus de la Péninsule acadienne. Elle est responsable de gérer les dossiers étudiants et d’effectuer diverses tâches administratives.
« L’arrivée de M. Simon et Mme Benoit amène une stabilité et ça nous permet de travailler sur une vision à moyen et à long terme », assure M. Losier.
L’École des pêches a une longue tradition de travailler main dans
la main avec l’industrie afin de soutenir les pêcheurs et leurs communautés. Nous travaillons chaque jour afin d’offrir un service optimal dans un domaine en continuelle évolution.
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