Les usines Berger au Nouveau-Brunswick : Un rouage essentiel au succès de l’entreprise
Le directeur de l’usine Berger à Baie-Ste-Anne, Éric Mullin, se montre extrêmement élogieux à l’égard des employés des deux usines que la firme possède au Nouveau-Brunswick. Il mentionne que l’usine de Baie-Ste-Anne, forte de ses 200 employés saisonniers et à temps plein, fonctionne à longueur d’année.
Les activités de l’usine de Baie-du-Vin s’effectuent sur une base plus saisonnière, soit de six à huit mois par année. Une cinquantaine d’employés sont affectés aux activités de récolte et de production tandis qu’une dizaine d’autres travailleurs œuvrent à temps plein pour s’occuper des travaux d’expédition et d’entretien.
« À Baie-du-Vin, nous exploitons également un atelier de fabrication où nous fabriquons et construisons de l’équipement pour le Nouveau-Brunswick ainsi que pour d’autres activités de l’organisation », dit
M. Mullin.
Une expertise diversifiée
La force ouvrière de Berger dans la province est composée d’électriciens et de mécaniciens industriels, d’ingénieurs civils et mécaniques, des opérateurs de matériels roulants et de production ainsi que des professionnels des ressources humaines, de la santé et de la sécurité.
Notre invité soutient que son équipe et lui-même se concentrent sur l’amélioration continue, en évaluant constamment les initiatives et les innovations qui font croître l’entreprise tout en offrant une valeur durable.
« Cette orientation nous permet de nous positionner en tant que leader de
notre secteur d’activité et comme une entreprise citoyenne responsable ».
Berger est d’ailleurs reconnue comme une entreprise humaine et l’un de ses principaux objectifs est de développer et de soutenir leurs employés et les communautés dans lesquelles ils résident.
« L’adaptation à un marché en constante évolution sera la clé de notre succès pour l’avenir et, avec les personnes et les dirigeants fantastiques que nous avons ici chez Berger au Nouveau-Brunswick, nous continuerons à maintenir le cap et atteindre tous nos objectifs », conclut M. Mullin.